Le site devrait être opérationnel en 2019 et employer environ 150 personnes. La capacité de production prévue, non communiquée, sera supérieure à celle de l’usine française. L’objectif est de produire la gamme existante de protéines de pois (non-OGM) et de développer d’autres grades pour répondre aux besoins des marchés futurs.
