Peu après la Seconde Guerre Mondiale, l’arrivée du nylon sonne le glas de la filature Harmel, comme pour d’autres filatures. L’activité de l’usine s’arrête par un dépôt de bilan en 1977. Près d’un siècle après la mort de Léon Harmel, son nom force encore le respect et l’estime des descendants de ses ouvriers.
